PRISE DE FONCTION : Entre deux batailles,
La chaleur du feu de camp , les blessures infectées , le sang coagulé. Tout dans le Lorndor ressemblait a l’enfer . Le jour comme la nuit , les hommes étaient tantôt des chasseurs, tantôt des proies de monstre cauchemardesques qui les traqués pendant leur sommeil.
Il n’y avait pas une nuit ou un homme dans le campement Gardians ne se réveillé pas en sursaut dégoulinant de sueur .
Le campement Gardians , fier alignement de tentes nomades , imposait respect et peur aux ennemis. Ce camp militaire ou se succédait nuits et jours les gardes , sentait la mort ; Et plus l’on se rapprochait des tentes centrale , plus la mort se faisait sentir . Des auras diabolique telle que celle de Gandalf mais aussi des auras d’une intense combativité faisaient vibrer l’air , électrisant par la même occasion les soldats s’entraînant.
Tout proche de la tente centrale se dressait une tente modeste mais tout aussi impressionnante et imbibe de la dureté des combats . A l’ombre de celle-ci se trouve 7 hommes en armure prêt a combattre , prés a en découdre. Ils étaient assis en cercle et un homme dont on ne pouvais distinguer que sa silhouette semblait présidé cette « assemblé » très « spéciale » .Les hommes s’échangèrent quelques regard et acquiescèrent en silence , puis il se retirèrent avec une discipline plus que militaire. Lorsque le dernier soldat eut franchit la toile de la tente ,un humain d’un taille très impressionnante entra .Il s’agissait de Gandalf, il regarda sévèrement le nain toujours assit dans l’ombre et dit brusquement :
- Alors Lundar as tu pris ta décision ?
L’homme assis se releva .il était deux fois plus petit que Gandalf. Il prit son épée et la lui tendit.
Oui Gandalf . Ma décision est prise
- En est tu sur ? lui rétorqua Gandalf
- Oui . répondit t il sereinement
- Mes yeux ne supporte plus ce spectacle ;les acteurs sont médiocres et la mise en scène bancale. Je veut me battre pour créer quelque chose ou le protéger et pour cela je t'ai choisit. Prends cette épee guerrier car tout officiers portent la sienne.